Un milliard de Chinois et Nicolas, et Nicolas, et Nicolas
Ainsi donc, Nicolas s’est fait taper sur les doigts. Un an après tout le monde (Gordon Brown, Angela Merkel...), notre Président a finalement rencontré le dalaï-lama... en Pologne. Mais pour faire bonne mesure, tout s’est passé en cinq minutes entre deux portes, le temps d’enfiler une khatag blanche vite fait bien fait et d’effleurer la main du saint ( ?) homme. Mais toutes ces précautions n’ont pas suffi : c’est encore trop pour les Chinois, qui menacent une nouvelle fois la France de représailles économiques. Et Sarkozy d’envoyer Kouchner s’expliquer pour la énième fois dans les médias. Ce n’est plus un feuilleton, c’est un sketch... Alors, pourquoi ne pas expédier Jean-Luc Mélenchon, désormais en rupture de ban du PS, à Pékin comme le suggère Guillaume-en-Egypte, le chat-pigiste de poptronics ? On n’en sait pas beaucoup sur le Parti de gauche (le PDG, ça ne s’invente pas, réécrit PG pour éviter la confuse...), dont le sénateur parle plutôt bien, sinon qu’il aimerait bien en faire un vrai aiguillon à la manière de Die Linke (La Gauche) en Allemagne. Mais l’ancien trotskiste (branche OCI, celle des lambertistes et de Jospin) est connu pour soutenir les Chinois notamment contre les pro-Tibet. Il y a au moins un Français qui échappera à un petit séjour de rééducation dans le beau pays de Hu Jintao.
PopAntivirus#8 Resistencia (2) ou la musique libérée
Clermont 2019, le court du jour 7 : « The Passage » Sarkophone, in phone with Sarko Bière qui GIF n’amasse pas mousse Avec Marie NDiaye, des écrivains de moins en moins sur la réserve Chris Marker s’invite au premier Apple II Festival France La rentrée pavée de roses de Martine Aubry La brume à Pékin affecte les JO... et le Net Tibet, le crépuscule des dieux |