Verbindingen/Jonctions 12, « Par Données, Nous Entendons », du 21 au 29/11, à la Bellone, 46 Vlaamse Steenweg, au Hacker space, 46 av. princesse Elisabeth, à Zennestraat, 17 rue de la Senne et à l’acsr, 49, rue Saint-Josse), Bruxelles, Belgique.
Verbindingen/Jonctions 12, « Par Données, Nous Entendons », du 21 au 29/11, à la Bellone, 46 Vlaamse Steenweg, au Hacker space, 46 av. princesse Elisabeth, à Zennestraat, 17 rue de la Senne et à l’acsr, 49, rue Saint-Josse), Bruxelles, Belgique.
"Kaleidoscope", un dispositif qui détourne les outils de surveillance (caméras, scanners...) pour une performance entre danse et jeu collectif. © Indymedia.be
< 28'11'09 >
Les Jonctions belges, étant donné l’état des données
(Bruxelles, envoyée spéciale)Nous sommes cernés. Les données sont partout. Produites par chacun, en continu, ce sont parfois des informations brutes, dites « grises », d’autres fois de simples traces de nos mouvements, qu’ils soient physiques ou informationnels. Littérature grise, data, manuels... Pour sa douzième édition, le festival bruxellois Verbindingen/Jonctions, organisé par Constant, une structure très active dans les domaines du féminisme, des alternatives au droit d’auteur et du travail en réseau, se propose, sous la théma « Par Données, Nous Entendons », de les mettre sur la sellette à travers une série de rencontres, de performances ainsi que des « cabinets de références », des documents à consulter autour du thème du festival depuis le 21/11 et jusqu’à dimanche. Ce dernier week-end est l’occasion d’un colloque qui réfléchira entre autres aux « médias maléfiques » tels que les décrivent les théoriciens des médias Andrew Goffey et Matthew Fuller. L’anthropologue et juriste Christophe Lazaro, auteur de l’ouvrage « La liberté logicielle » évoquera la communauté autour du système d’exploitation libre GNU/Linux Debian tandis qu’Adam Hyde et son projet FLOSS Manuals reviendra sur l’écriture collective de manuels sur les logiciels libres. A découvrir également lors de ce festival pour amateurs de culture libre, l’installation-performance « Kaleidoscope ». Les concepteurs-joueurs à l’origine du projet, membres de Constant, ont conçu un dispositif à partir de caméras et de logiciels de surveillance, mais en renversant l’aspect sécuritaire pour en faire un outil de jeu collectif. Leur terrain de jeu et la série de propositions pour l’activer sont également ouverts à l’intervention des visiteurs.
Papillote en antidote contre le confinement
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