poptronics ' Le pop’flux vu par... Paul-Armand Gette

Pendant la « trêve des confiseurs », poptronics a demandé à des artistes, musiciens, témoins privilégiés du Net de revisiter le flux des infos produites ici. En trois ou quatre liens, ces choix dressent un mini-portrait chinois de l’invité. Aujourd’hui, Paul-Armand Gette, figure de l’art contemporain en France, a choisi de commenter en images le pop’flux.

< 03'01'08 >

Le pop’flux vu par... Paul-Armand Gette

Pendant la trêve des confiseurs, poptronics a convié des artistes à revisiter le flux poptronics. Parce que l’agenda des cultures électroniques, lancé en juin sur la Toile, engrange petit à petit des ressources éclectiques, plus de 400 articles publiés à ce jour, et que leur relecture par ces invités est aussi une manière de portrait chinois.

L’œuvre de Paul-Armand Gette, né en 1927, suscite les sentiments les plus contradictoires, l’artiste n’appartenant ni à un mouvement, ni à un groupe de créateurs, il reste une figure singulière de l’art contemporain. Sculpteur, écrivain, cinéaste, vidéaste, dessinateur, photographe, poète, Gette aime bouleverser les conventions en jouant de la hiérarchie des genres et construit sa propre figure de l’artiste en investissant les espaces d’expositions traditionnels comme les plus immatériels. Son calendrier 2008 est déjà chargé : en mai, il expose avec Halldor Asgeirsson à Reykjavik, en Islande, participe en juin à l’exposition « Coquillages et Crustacés » au Musée International des Arts Modestes à Sète et enfin, en octobre, à la galerie Philippe Chaume à Paris, expose ses polaroïds. Une monographie sortira au printemps aux éditions de La Maison Chauffante. En réponse à l’invitation de poptronics, c’est de paysage que Paul-Armand Gette veut parler, en images (dont certaines sont originales)...

Clin d’œil et coups d’yeux

< 07’12’07 > Femmes artistes, rencontre et plus si affinités